



Suite à la livraison des œuvres de la 2e donation de Raphaëlle Pia en octobre 2023, une exposition de sous-bois a été constituée. Cette série de peintures de grands formats, encres et aquarelles a été présentée à Bourg-en-Bresse, St-Rambert-en-Bugey puis Belley. Les enseignants qui ont fait vivre cette exposition sont : Catherine Molin-Simian, Anne Sanchez et Céline Faugère.
2023 – 2024 : collège Thomas Riboud, collège de L’Albarine, collègeSabine Zlatin
L’exposition consacrée à Martine Clerc, fruit d’un fructueux partenariat entre notre association et la DPSC, sera désormais présentée chaque année dans un nouvel établissement.
Intitulée « Curiosités contemporaines », la troisième exposition d’œuvres issues de la collection des musées départementaux, aura lieu au printemps 2021 au collège de l’Albarine de Saint-Rambert-en-Bugey.
Nous remercions Delphine Cano, Directrice, conservatrice en chef du patrimoine à la Direction des Musées départementaux, grâce à qui cette exposition ne pourrait avoir lieu ainsi que Clémence Durand, membre du Conseil d’administration de l’association, qui en assure le commissariat.
Cette exposition présentera une trentaine d’œuvres sur le thème du cabinet de curiosités.
A une époque où la pratique du selfie est devenue un véritable phénomène de société, caractéristique de l’ère du numérique, questionner la tradition et les usages du portrait et de l’autoportrait est plus que jamais d’actualité. Cette pratique, d’apparence si spontanée, s’inscrit dans une longue histoire du portrait peint, sculpté ou photographié et en reprend de nombreux codes. Le portrait, souvent associé à la photographie, plus particulièrement à la photo d’identité depuis le début du XXe siècle, forme depuis plusieurs centaines d’années un genre artistique à part entière. Les portraits ont figuré tant de hauts dignitaires, joué tant de rôles et rempli tant de fonctions qu’ils sont devenus incontournables dans l’histoire de l’art occidental.
Cette exposition présente à travers une dizaine d’œuvres la diversité de ce genre, du por- trait en pied au portrait en buste, du portrait figé au portrait en mouvement, du portrait de trois-quart face, de profil ou de face au portrait en solo ou en duo, du personnage nommé par sa fonction à la production « sans titre ».
Mais certaines de ces œuvres sont-elles encore de véritables portraits ? Lorsque l’artiste ne se préoccupe plus de la ressemblance et ne cherche pas à fixer les traits d’un visage, qu’il s’in- téresse davantage à des problèmes picturaux comme la lumière qui permet de « sculpter » les différents mouvements, vêtements ou accessoires, et l’espace d’où se détache le modèle, lorsque l’artiste fait le choix d’éléments qui perturbent la physionomie quitte à introduire des irrégularités quasi caricaturales, ne traite-t-il pas du personnage en le « choséifiant » ? Le portrait et l’autoportrait permettent alors une méditation sur l’individu et l’être humain, son humanité et son rapport aux autres.
Nous remercions Delphine Cano, Directrice, conservatrice en chef du patrimoine à la Direction des Musées départementaux, qui a rendu possible cette deuxième exposition. Un grand merci également a Clémence Durand, membre du Conseil d’administration de l’association, qui en a assuré le commissariat.
Cette exposition présente dix photographies originales exceptionnellement prêtées par l’artothèque de Grenoble au collège de Poncin ; il s’agit d’un événement rare dans un établissement scolaire.
L’exposition offre une sélection de clichés pris entre 1934 et 1971 qui présentent, malgré la diversité des sujets et grâce au noir et blanc, à la taille des tirages et à leur encadrement, une certaine homogénéité.
L’ensemble donne un aperçu de quelques uns des plus grands thèmes traités par l’auteur: les jeux d’enfants, l’amour, la vie quotidienne, la vie parisienne. Il révéle de façon frappante la spécificité du regard du photographe, l’artiste transfigurant le réel par l’originalité des cadrages, la justesse des points de vue et un art évident de capter l’insolite dans le quotidien.
Le travail de Robert Doisneau appartient à ce que l’on appelle la « photographie humaniste »; il suscite beaucoup de sympathie à travers le monde et son oeuvre est, à tous points de vue, remarquable.
L’artiste photographe Mathilde Darel a été accueillie dans l’établissement pendant six semaines. Les élèves du collège ont travaillé sur un projet interdisciplinaire basé sur la photographie. Celle-ci a été étudiée comme « écriture de lumière », mais aussi comme « moyen de détourner le réel qui nous entoure ».
Le titre de la résidence « L’art est bleu comme le réel » est lié à la singularité du travail de Mathilde Darel et au projet pédagogique qui en découle. L’artiste utilise en effet des techniques de fabrication d’images anciennes qui facilitent le passage du réel vers le poétique. C’est le cas du cyanotype qui, par le biais de la couleur bleue, induit la recherche d’une vision différente du réel.
Ce projet a fait appel à plusieurs disciplines : les sciences par l’étude scientifique du médium ; le français à travers l’approche descriptive du réel (observation et verbalisation) ; les Arts plastiques, directement impliqués dans la dimension artistique du projet et la documentation, au CDI, lieu de recherches et d’échanges…